Comme disait souvent Johnny trasher :

« La guitare ça doit rester sobre. J’évite le tapping à la Eddie ou les plans sweeping qui sonnent trop Malmsteen.

Même si le legato doit être irréprochable je me permet maintenant des écarts rytmiques entre mes hammer et pull-off. j’utilise plus de slide et trémolo qu’avant pour sonner plus out.

Il faut sortir des standards pentatonique courants, j’enrichi souvant avec de la mineure harmonique pour sonner néo classique ou bien les mode ionien et dorien pour orienter prog.

Tu peut même t’autoriser la note blue note avec des rake pour ajouter un petit coté delta. Question son, je me limite au minimum : ma metal-zone cutomizé à 11 comme d’habitude mis j’utilise aussi le cannal drive de mon mesa qui a un gros boost dans les medium.

Il faut mieux laisser de coté les effets de modulation tels que phaser et flanger qui colorent trop le son. je m’autorise parfois un chorus léger pour gonfler la disto. Un Noise gate et un bon compresseur son bien sûr indispensable et j’ai toujours ma whammy digitech et une budda-wah.

Je joue sur ma PRS custom shop equippé d’un hambucker Dimarzio en chevalet et Seymour Duncan au manche, et bien sûr un floyd rose pour les dive bomb et autres effets de vibrato. la lutherie est standard : table erable flammé touche palisandre, blocage au sillet, mécanique à bain d’huile et selecteur 7 positions pour utiliser les modes passif, actif et le ghost pick qui est un EMG-G81.

Voilà je voudrais dire que la guitare ça doit rester simple, il faut juste avoir le feeling »



tapping tout la