Tsonga / Ali : une ressemblance “frappante”Jo-Wilfried Tsonga, fils spirituel du grand Mohammed Ali (aka Cassius Clay) ?

En tout cas, outre la similitude physique à la limite du mimétisme (Doppelgänger), la ressemblance entre ces deux grands sportifs est frappante : même air gentil, même sourire charmeur, même gabarit, même coupe de cheveux, même envie de gagner et même force d’impacte … et ce n’est pas tout !

Cassius Clay aka Mohammed AliJo-Wilfried Tsonga est un joueur de tennis français, né le 17 avril 1985 au Mans (France) d’un père congolais (Congo-Brazzaville), ancien handballeur, et d’une mère française. La similitude ne s’arrête donc pas seulement au physique, car Mohammed Ali (aussi appelé Muhammad Ali-Haj ou encore Muhammad Ali), né Cassius Marcellus Clay Jr., est quand à lui né un 17 janvier 1942, à Louisville dans le Kentucky (Sarthe Américaine) à seulement quelques milliers de kilomètres du Mans !!!
N’est-ce pas troublant ??

Photo volée dans les vestiaires de la salle de boxe de Louisville (Kentucky)L’histoire raconte que l’enfant noir vint à la boxe à l’âge de 12 ans après avoir été victime d’un vol de vélo : le policier auprès duquel il porte plainte, Joe Martin, est entraîneur et convainc le jeune Cassius Clay à pratiquer le « noble art » : la boxe. Coincidence encore, Jo Wilfried Tsonga, est comme chacun avait pu le remarquer l’anagramme parfaite de « Joe Martin vélo = boxe » à quelques lettres près (6), ce qui décidémment, ne peux pas être le simple fruit du hazard, donc alala !!!

De la même manière, tout comme Mohamed Ali, Jo Wilfried Tsonga a refusé catégoriquement de participer à la guerre du Viet-Nam, guerre injuste et impérialiste.

Cassius Clay est un boxeur américain considéré comme un des meilleurs poids lourds de tous les temps, il a même parfois été surnommé GOAT (la chèvre), acronyme de « greatest of all time ». Il fut tout d’abbord surnommé le Tsonga de la boxe, avant d’être nommé sportif du XXe siècle par une assemblée de journalistes internationaux, devant Pelé (le footballeur). Il a acquis la célébrité mondiale autant par ses performances de sportif que par son activisme politique et sa ressemblance avec le tennisman français.

Jo-Wilfried Tsonga, l’oeil du tigrePour le jeune tennisman français, le parcours semble donc tout tracé. 2008, année du ZOOB, sonne comme l’année de la confirmation, et ce, dès le tournoi d’AdélaïdeJo-Wilfried y bat Lleyton Hewitt (6-4 6-2).

Lors de l’Open d’Australie, JW Tsonga fait tout d’abbord sensation en éliminant l’Écossais Andy Murray (tête de série no 9) et continue jusqu’en finale en écartant Richard Gasquet (no 8), Mikhail Youzhny (no 14) et crée l’exploit face à Rafael Nadal (no 2) en demi-finale de l’Open d’Australie. Et de quelle manière ! Jo-Wilfried Tsonga, réalise peu de temps après Mohamed Ali face à Sonny Liston, un vrai combat poids lourds en éliminant le deuxième meilleur joueur du moment, et de façon expeditive, sur le score sans appel de 6-2 6-3 6-2…



Malheureusement, comme Mohammed Ali face à Joe Frazier en 1971, il perd en finale, après avoir pourtant gagné le premier set, face au numéro 3 mondial et tombeur de Roger Federer (no 1) : Novak Djokovic. Une déception certe, mais quel parcours pour ce tennisman, près à drainer derrière lui, un peuple entier de supporters qui ne demandent qu’à réver un peu, et oublier les frasques de l’oligarchie gouvernante.



Un des hobbies de Jo Wilfried : la boxe anglaiseDon King, l’homme à la chevelure taptoulesque, sera peut-être interessé par organisé un match au sommet Jo Wilfried Tsonga / Roger Federer, sur un terrain Congolais, … comme il l’avait fait avec Muhammad Ali face à George Foreman en 1974 à Kinshasa, au Zaïre … qui n’est autre que l’ancien nom de la République Démocratique du Congo (Congo Kinshasa), pays voisin de la République du Congo (Congo Brazzaville), pays dont est originaire le père de Jo Wilfried Tsonga.

Bref, toutes ces ressemblances tapent quand même vachement tout là …